Rechercher
Rechercher
Derniers sujets
Derniers sujets
Bandar ben Sultan le secrétaire général du Conseil de Sécurité National d'Arabie saoudite menace LA GRANDE BRETAGNE de recourir au terrorisme
Page 1 sur 1
Bandar ben Sultan le secrétaire général du Conseil de Sécurité National d'Arabie saoudite menace LA GRANDE BRETAGNE de recourir au terrorisme
L'ARABIE SAOUDITE MENACE LA GRANDE BRETAGNE : “SI VOUS CONTINUEZ A ENQUÊTER SUR NOS PETITS DEALS, IL Y AURA UN AUTRE ATTENTAT TERRORISTE À LONDRES”
La bonne nouvelle (pour les Londoniens), c’est que la menace a été suivi d’effet et que l’enquête a été stoppée.
Et comme par hasard on retrouve notre archi-pourri de service, le prince Bandar, dont le nom apparaît partout dans le dossier du 11 septembre et que George Bush appelle “mon frère” (d’ailleurs, il est tellement copain avec les Bush, qu’on l’appele ‘Bandar Bush’)
The Guardian : Des documents secrets remis à la Haute Cour révèlent des menaces d’un prince saoudien. Le spectre d’un autre attentat du 7 juillet a forcé Blair à bloquer une enquête sur une affaire de corruption impliquant des membres hauts placés de la famille royale saoudienne.
[David Leigh et Rob Evans - The Guardian - 15/02/2008 - Trad. Grégoire Seither]
Des documents publiés hier par la Haute Cour révèlent que les dirigeants saoudiens ont menacé la Grande Bretagne d’attentats terroristes si Londres ne stoppait pas une enquête policière qui menacait de révéler la corruption et les traffic d’armes pratiqués par certains membres hauts placés de la famille royale saoudienne.
Les documents déclassés montrent comment les enquêteurs se sont entendu dire que Londres “allait connaître un autre 7 juillet” et que “des britanniques allaient mourir dans les rues de Londres” s’ils poursuivaient leur enquête. “Au minimum, nous refuserons de vous fournir nos informations sur les mouvements islamistes, ce qui facilitera grandement les opérations terroristes sur votre sol” a déclaré aux enquêteurs le Prince Bandar, chef du Conseil National de Sécurité d’Arabie Saoudite.
Les documents publiés par la cour montrent que Bandar, membre de la famille royale, était le plus virulent dans ses menaces contre les enquêteurs et le plus insistant dans ses pressions sur le gouvernement britannique afin que l’enqûete soit close. En 2004, suite à des révélations du journal The Guardian, la justice avait mis à jour le paiements d’énormes pots de vin par l’entreprise d’armement BAE afin de faciliter des ventes d’armes à l’Arabie Saoudite. Le Prince Bandar est soupçonné d’avoir reçu près de 1 milliard de livres britanniques en paiements secrets de la part de BAE.
Selon les rapports officiels, le Prince Bandar s’est rendu à Londres en December 2006 pour une réunion confidentielle avec le premier ministre Tony Blair, au cours de laquelle il a menacé de “lacher les chiens de la terreur dans les rues de Londres“. Tony Blair a suffisamment pris au sérieux les menaces de Bandar pour forcer le Serious Fraud Office - une agence d’Etat spécialisée dans les affaires de corruption - à mettre fin à son enquête sur Bandar et les autres membres de sa famille. Cette décision du gouvernement britannique causa un scandale international, les autres pays accusant la Grande Bretagne de saboter les traîtés anti-corruption.
Le juge Moses, chargé de l’affaire, a affirmé que tout laissait penser que le gouvernement “s’était couché” devant les menaces. “C’est comme si quelqu’un avait pointé un pistolet sur la tempe du gouvernement et lui avait dit de laisser tomber“. Le juge s’est déclaré surpris que le gouvernement n’ait pas tenté de convaincre les saoudiens de mettre fin à leurs menaces. “Dans notre pays, quelqu’un qui menace d’interférer avec le cours de la justice par des méthodes violentes se rend coupable d’un crime. C’est une perversion de la justice et nous sommes en droit de poursuivre les membres de la famille royale saoudienne qui se sont rendus coupables d’une pareille offense“.
Robert Wardle, directeur du Special Fraud Office a déclaré à la cour qu’il avait argumenté contre la cloture du dossier : “Nous avions tous les éléments en main, je voulais remonter la piste pour savoir où elle menait“. Mais les documents montrent que le lendemain de sa réunion avec Bandar, Tony Blair écrit au procureur général de la couronne, Lord Goldsmith, lui demandant d’ordonner au SFO de cesser son enquête sur Bandar et la famille royale saoudienne.
http://www.guardian.co.uk/world/2008.../bae.armstrade
Lire aussi, sur Voltaire : http://www.voltairenet.org/article155228.html
La bonne nouvelle (pour les Londoniens), c’est que la menace a été suivi d’effet et que l’enquête a été stoppée.
Et comme par hasard on retrouve notre archi-pourri de service, le prince Bandar, dont le nom apparaît partout dans le dossier du 11 septembre et que George Bush appelle “mon frère” (d’ailleurs, il est tellement copain avec les Bush, qu’on l’appele ‘Bandar Bush’)
The Guardian : Des documents secrets remis à la Haute Cour révèlent des menaces d’un prince saoudien. Le spectre d’un autre attentat du 7 juillet a forcé Blair à bloquer une enquête sur une affaire de corruption impliquant des membres hauts placés de la famille royale saoudienne.
[David Leigh et Rob Evans - The Guardian - 15/02/2008 - Trad. Grégoire Seither]
Des documents publiés hier par la Haute Cour révèlent que les dirigeants saoudiens ont menacé la Grande Bretagne d’attentats terroristes si Londres ne stoppait pas une enquête policière qui menacait de révéler la corruption et les traffic d’armes pratiqués par certains membres hauts placés de la famille royale saoudienne.
Les documents déclassés montrent comment les enquêteurs se sont entendu dire que Londres “allait connaître un autre 7 juillet” et que “des britanniques allaient mourir dans les rues de Londres” s’ils poursuivaient leur enquête. “Au minimum, nous refuserons de vous fournir nos informations sur les mouvements islamistes, ce qui facilitera grandement les opérations terroristes sur votre sol” a déclaré aux enquêteurs le Prince Bandar, chef du Conseil National de Sécurité d’Arabie Saoudite.
Les documents publiés par la cour montrent que Bandar, membre de la famille royale, était le plus virulent dans ses menaces contre les enquêteurs et le plus insistant dans ses pressions sur le gouvernement britannique afin que l’enqûete soit close. En 2004, suite à des révélations du journal The Guardian, la justice avait mis à jour le paiements d’énormes pots de vin par l’entreprise d’armement BAE afin de faciliter des ventes d’armes à l’Arabie Saoudite. Le Prince Bandar est soupçonné d’avoir reçu près de 1 milliard de livres britanniques en paiements secrets de la part de BAE.
Selon les rapports officiels, le Prince Bandar s’est rendu à Londres en December 2006 pour une réunion confidentielle avec le premier ministre Tony Blair, au cours de laquelle il a menacé de “lacher les chiens de la terreur dans les rues de Londres“. Tony Blair a suffisamment pris au sérieux les menaces de Bandar pour forcer le Serious Fraud Office - une agence d’Etat spécialisée dans les affaires de corruption - à mettre fin à son enquête sur Bandar et les autres membres de sa famille. Cette décision du gouvernement britannique causa un scandale international, les autres pays accusant la Grande Bretagne de saboter les traîtés anti-corruption.
Le juge Moses, chargé de l’affaire, a affirmé que tout laissait penser que le gouvernement “s’était couché” devant les menaces. “C’est comme si quelqu’un avait pointé un pistolet sur la tempe du gouvernement et lui avait dit de laisser tomber“. Le juge s’est déclaré surpris que le gouvernement n’ait pas tenté de convaincre les saoudiens de mettre fin à leurs menaces. “Dans notre pays, quelqu’un qui menace d’interférer avec le cours de la justice par des méthodes violentes se rend coupable d’un crime. C’est une perversion de la justice et nous sommes en droit de poursuivre les membres de la famille royale saoudienne qui se sont rendus coupables d’une pareille offense“.
Robert Wardle, directeur du Special Fraud Office a déclaré à la cour qu’il avait argumenté contre la cloture du dossier : “Nous avions tous les éléments en main, je voulais remonter la piste pour savoir où elle menait“. Mais les documents montrent que le lendemain de sa réunion avec Bandar, Tony Blair écrit au procureur général de la couronne, Lord Goldsmith, lui demandant d’ordonner au SFO de cesser son enquête sur Bandar et la famille royale saoudienne.
http://www.guardian.co.uk/world/2008.../bae.armstrade
Lire aussi, sur Voltaire : http://www.voltairenet.org/article155228.html
Sujets similaires
» Le wahhabisme, la fabrique du terrorisme
» La narcotrafic menace la stabilité du Maroc/par Pedro Canales
» L’Arabie Saoudite a été le principal financier des mouvements intégristes dans le monde.
» Entretien avec le général X*
» Les raisons du coup de colère du Président Dictateur Général tunisien
» La narcotrafic menace la stabilité du Maroc/par Pedro Canales
» L’Arabie Saoudite a été le principal financier des mouvements intégristes dans le monde.
» Entretien avec le général X*
» Les raisons du coup de colère du Président Dictateur Général tunisien
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jeu 2 Fév - 10:07 par ithviriw
» Affables avec les maîtres, arrogants vis-à-vis des musulmans
Mer 12 Oct - 12:51 par ithviriw
» Histoire de ACHOURA, et origine du FAUX HADITH du JEUNE
Mer 12 Oct - 8:32 par ithviriw
» Les hérésies dogmatiques des ennemis de Rassoulou Allah, aswaws
Jeu 29 Sep - 5:00 par ithviriw
» Intolérance contre les musulmans chiites, aimables vis-à-vis des Paiens Hindi et les Ahl el Kitab
Mer 16 Juil - 7:03 par ithviriw
» FALSIFICATION des hadiths et Invention des Ahl es Souna
Mar 28 Jan - 2:07 par ithviriw
» 'ABASSA WA TAWALA", Mensonges d'Aicha, contre Rassoulou Allah, aswaws,
Ven 24 Jan - 16:22 par ithviriw
» Quelques vérités historiques tues
Jeu 3 Oct - 13:00 par ithviriw
» Les profanateurs de TOMBES en Libye "salafisée"
Jeu 12 Jan - 6:46 par ithviriw